Hello les riders ! On a tous déjà pesté contre ce fichu vent qui nous gâche notre session... ou béni ces matins offshores parfaits ! Petit guide pour comprendre comment ce joueur capricieux influence nos sessions.

C'est notre meilleur allié ! En soufflant de la terre vers la mer, il sculpte des vagues de rêve.

Quand les conditions s'alignent, il peut même nous offrir des tubes !

C'est le vent qui vient de la mer, le pire cauchemar du surfeur... Il transforme nos belles vagues en soupe désorganisée.

La galère est totale : rame impossible, vagues qui ferment, et douche gratuite en prime !

Ça peut passer sur certains spots, mais faut pas qu'il force trop !

⚠️ Règles d'or ⚠️

- Au-dessus de 30 km/h : oublie, va boire un café !

- Onshore au-dessus 15 km/h : même pas en rêve

- Offshore léger : jackpot

- Pas de vent du tout ? C'est glassy baby !

1. Check la houle (mini 0,7m)

➡️ Tu surfes des mousses? te prends pas la tête, va surfer (sauf si c'est tempête).

2. Mate l'orientation du spot et les marées

3. Surveille le vent :

- Petit vent ? → Go surf !

- Gros vent ? → Cherche un spot abrité

Attention au thermique qui pourrit tout l'aprèm ! Le secret ? Surf matinal avant 10h, puis petit déj' bien mérité.

L'automne, c'est LA saison ! Houle au rendez-vous, eau encore bonne, et souvent du offshore le matin. Que demander de plus ?

Par chez nous, le vent d'ouest, c'est la situation dominante mais pas de panique ! On a quelques spots qui fonctionnent. Certains sont planqués, faut juste les connaître... ou avoir les bons potes ! 😉

Parfois le vent, c'est aussi un ciel de traine assez changeant, ou un orage, il faudra être à l'affut.

Alors, prêts pour votre prochaine session ? N'oubliez pas : le vent, c'est comme la vie, faut savoir composer avec ! 🤙